Excusez-moi mesdames messieurs les loisDe la nature trop belle et trop dure>Je n'ai pas de savoir vivreNi même l'étrange peur de mourirIl n'y a pas de politicPour mois l'insectC'est mon sens criticQui m'infecteMais comme un empereurJ'ai l'œil vif et moqeuerEt pourquoi pasJe ris de mon mal de foieSang et nuit sont les couleursDe cette peauDans laquelle moi je visSang et nuit sont les couleursDe cette peauDans laquelle moi je vis:Argonate cephallotorax bluesPourquoi le cacherMa toile est un piègeQui fait peur aux enfantsOn dit que je piqueLes bonnes gensSi je suis cruelSacramental de sacrilègeJe suis l'oppriméQu'aurait tant aiméAvoir des ailesLa douceur d'une coccinelleMême les crapauds n'osent pas me croquerOn ne prend plaisirQu'à m'écraserSang et nuit sont les couleursDe cette peauDans laquelle moi je visSang et nuit sont les couleursDe cette peauDans laquelle moi je vis:Argonate cephallotorax bluesEn sursis sans sursautsSans sursauts endurcisDu haut d'la cuticlePiqué d'la tarentuleDieux qu'elle est belleDiaboliquement femelleMais quand j'avanceV'la qu'elle reculeComment veut-elleQue l'on copuleJ'entends grincerSes mandibulesHa quel stratègeSacramental de sacrilègeL'amour bat son fortPuis elle me dévoreEt pourquoi pasMadame est nécrophoreSang et nuits sont les couleursDe cette peau dans laquelleMoi je visEn sursis sans sursauts...Endurcis!!!Argonate!!Cephallo-thoraxBlues!...