C'est indécent
De vivre
Un sommeil d'étang
D'écran de vide
De laquais
De servants
De parade en chemise
D'écoliers en rangs
Tant de coeurs géants
Enrobés de cire
L'antre gris du temps
Le sol est gras et âcre
Fadisé
Tapis Blanc
Cendres
Inspirent
Ah l'aiguille
Alignant les billes
Ficelant l'intime
En dépenses
En des vents de grandes mines
Sortir
Damnés silences de rames
J'ai un béant
Christ de craie
Triste
Tendre
L'aube m'est hostile
Bisbille
Âme de serre
Un ange de terre
Osant fureter
Dans les camps
Laids de rires
Ah des cieux
Pur et sans les baies
Ah les songes
Restent pires
Prismes lourds
Tout déjette et s'oublie
Sous l'abc des branches
Ânes descendaient
Dedans les mers
Et dans les steppes
Et landes
Je n'ai coeur que beaux mésaises
Rendonnant
Donnant
De tolérer pierres et soupirs
Caressant les démons
D'éclaircies
Allez parlez blés
Allez sortez
De ces bancs
De sangles
Pourrir de rire
Allez sortes des varices
Hélant
Le sang