Tous nos cris d'amour qui s'effacentje n'écris plus que les silencesla page de notre vie se froisseles mots sont tous à contresensje l'oubliemême son ombre ne reveille plus mes enviesje l'oublieelle n'est plus qu'un nuage blanc après la pluieje l'oublieje l'oublielorsqu'elle est nue devant sa glaceje ne ressens que de l'absencele vide infini de l'espacecomme un tambour sans résonanceje l'oubliemême son ombre ne réveille plus mes enviesje l'oublieelle n'est qu'un nuage blanc après la pluieje l'oublieje l'oublieelle était pourtant celle que je prenaisdans mes braspardon de parler d'ellepardon d'en parler comme çaje l'oubliemême son ombre ne réveille plus mes enviesje l'oublieelle n'est qu'un nuage blanc après la pluieje l'oublieje l'oublie