L'Edelweiss Noire - Ungern von Sternberg (Mongolie 1921) 歌词
Moi, le dernier fils des glorieux barons Ungern von Sternberg
Commandant la dernière unité Blanche contre les Rouges
J'ai pris Ourga, capitale des Mongols, pour libérer le Bouddha vivant
Mais je sais que je n'aurai pas le temps de mettre à mon doigt
Le rubis légendaire orné du svastika
Que portaient à la main droite Gengis et Kublaï Khan
Je suis le souffle du karma vengeur, soldat de la science sacrée
Je suis le dernier chevalier, qui ne connaît ni pardon ni pitié
Je suis le dieu incarné de la guerre, au service du Bouddha vivant
Je suis le seul encore debout, et je n'attends plus que la mort
Mes ancêtres ont porté le fer et le feu partout où ils devaient
De Jérusalem à la mer Baltique, pour l'honneur et la fidélité
A mon tour je mène le combat contre la vermine bolchévique
Avec mon armée de cosaques et de cavaliers paysans
Pour préserver la tradition bouddhique à travers l'Asie
Menacée de mort par les ennemis de la civilisation
" Du Nord est venu un guerrier blanc qui appela les Mongols,
Les aidant à briser leurs chaînes d'esclavage,
Qui tombèrent sur notre sol délivré.
Ce guerrier blanc était Gengis Khan réincarné.
Il a prédit la venue du plus grand de tous les Mongols,
Qui répandra la belle foi de Bouddha, la gloire et la puissance
Des descendants de Gengis, d'Ugudaï et de Kublaï Khan.
Et ce temps viendra ! "