Le vent souffle, ton corps tremble, comme transpercé par le froid,
Dans ton regard chaud et doux, ta vie défile tout bas,
Quel est ce mal qui te ronge ? Qui te détruit pas à pas,
Rongeant vilement le reste de ta force, n'abandonne pas.
Je t'ai vu dans ton abyme chercher le temps, chercher l'issue,
Tu attends là croyant savoir, plongeant encore plus bas,
Quel est ce mal qui te ronge ? Qui te détruit malgré toi,
Tu te laisses envahir par ce poison tu ne te bats pas !
CHORUS
Cherchant la délivrance, j'ai trouvé la douleur
Je voulais simplement détruire ma peur,
Je ne peux plus combattre, me restant les larmes,
Pour seul accompagnateur..
Où est cette voix qui me guidait quand j'avais peur,
Dans mon enfance je puise mes derniers moments de bonheur,
Tu me tues, tu me suis,je te fuis, tu me nuis.
Chaque jour tu crois t'enfuir de ce que tu aimes parfois,
Ce plaisir destructeur qui te protèges, tu crois ?
Derrière ce masque éphémère que tu te construits avec ça,
Tu es encore plus fragile que tu crois,
Laisse la paix reprendre ton âme,
Tu abîmes la vie qui coule dans ta peau,
Envole- toi vers d'autres cieux,
Le mal qui t'abîme est ton obsession.