Dans le désert, l'or du soleil ardent nous écrase
Les voiles ornés de poussière safran
L'aridité de l'air, du paysage
Ses monts de cuivres, lissant nos sillages
Sculptent une ère éphémère
Dans le désert, on cherche en vain des étangs de sable
Pour étancher enfin ses lèvres amarantes
L'ocre du paysage, ses eaux saphir
Sont le fruit d'un mirage aux saveurs amères
L'illusion d'une aire où se perd à jamais l'imaginaire
L'illusion d'une aire qui choie notre essence même de ses chimères
Ces eaux de poussière argent, l'horreur d'un soleil ardent
Qui noient notre essence même dans ses chimères
Этот текст прочитали 110 раз.