Douce violence de nos jeunes amours
Tendre insouciance de nos premiers beaux jours
Quand le temps nous fait face au ciel de nos seize ans
C'est notre enfance qui meurt doucement
Douce violence de nos premiers matins
Le monde immense soudain nous appartient
Et nos cÅurs et nos lèvres
Voudraient garder toujours
La douce violence de notre amour