Les parfums enivrants des jardins du confort
La routine entraînant les esprits et les corps
Purifiés par le vent qui nous emplit les voiles
Et le chant des amants dans le lit des étoiles
C'est la liberté ou la mer...
Aux abois, aux abords des marées éphémères
Des jasmins de guitares dans les prisons du temps
Leurs chagrins, leurs pavés, leurs printemps et leurs pierres
Tous ces murs du présent rivés dans nos dimanches
C'est la liberté ou la mer...
C'est la mer qui nous délivre
Des amertumes de la rive
Sur des toiles ou dans des livres
C'est la mer qui nous grise
En partance pour ailleurs, sans larmes et sans bagages
Embarqués par la chance au bras du bastingage
Abordants des rivages aux lagons éternels
Tous les dauphins du large ont quitté l'archipel
C'est la liberté ou la mer... ou la mer
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