Dans le soir gris de la comte
On entendait ses pas la-haut
Avant l'aube il etait parti
Pour un voyage sans un mot.
Terres sauvages ou ocean,
Deserts au nord, monts au midi,
Nids de dragon, portes cachees,
De bois sombres ; partout il allait.
Hommes et elfes, hobbits et nains,
Ceux du trepas, ceux de la vie,
Oiseau chanteur et bete enfouie,
De tous il savait le langage.
Il tronait en sage seigneur,
Aussi prompt au courroux qu'au rire,
Vieil homme au chapeau bossele,
Penche sur un baton noueux.
“you cannot pass. i am a servant of the secret fire, wielder of the flame of anor. you cannot pass. the dark fire will not avail you flame of udun. go back to the shadow! you cannot pass.”
With a bound the balrog leaped full upon the bridge. its whip whirled and hissed. from out of the shadow a red sword leaped flaming. glamdring glittered white in answer. there was a ringing clash and a stab of white fire. the balrog fell back and its sword flew up in molten fragments. the wizard swayed on the bridge, stepped back a pace, and then again stood still.
Lame fatale, main guerisseuse,
Un dos courbe sous le fardeau,
Voix claironnante et marque vive,
Pelerin las dessus la route.
Il se tenait seul sous le pont,
Defiant a la fois feu et ombre ;
Sa canne brisee sur la roche,
Sagesse morte a khazad-dum.