Une vie, un corps, un seul destin.
Chaque souffle te démontre son chemin.
Des signes! Et des signes! Mais tu ne vois rien!
Passif devant l'action,
Tu creuses ta propre tombe.
Tu t'enlises dans l'abnégation!
L'intérieur te ronge d'indignation!
L'auto-destruction de ton image,
Ce qui n'est point sage.
Ton amour-propre fige,
Tu te négliges,
Tes désirs instables au fond d'une cage.
Dis-moi! Est-ce un présage?
Dans ton corps de déchet,
Il n'y a plus rien, plus de respect.
Prendre le blâme n'est pas mal.
Mais dans ta tête t'es normal...