La fin d'une trilogie,
le début d'une novelle Ere...
Ecoutez mes pensées
qu'un vieux parchemin ne purrait raviver!
Entre quarte murs creusés
par le temps et les pleurs
Je hurle a la Terreur.
Quelle me laisse en paix
Paix qui depuis ma triste Nuit
M'offre son sourire funébre,
Elle a gommé mon chemin qui
Se perd alors dans les Ténèbres
Ténèbres dont la couleur
Embrasse mon esprit.
Etouffe tous mes cris.
Ranime ma sueur!
Sueur sur mes mains noires
Rongeant mes seuls instants.
Déchirant l'air pesant
Qui se laisse percevoir
Percevoir les pas lancinants
D'un gardien sans visage, le soir
Chaque matin sa clef, grinçant,
Me ravive pourtant la mémoire
Mémoire hier inerte,
Aujord'hui me rappelle
Que dans une sale ruelle,
J'ai tué la Dame Verte
Je suis celui qui cependant
dan la douleur et la peur
a offert a la Forêt Mystique,
son nouveau visage...
Vous allez le découvrir!
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