Dans l'art humain la seule chose chosifie
Le corps n'est pas si compliqué
Ses mains me réunifient manient malice
Ses rêves hémétiques , ma convoitise
Nos particules assoiffée succombent
À l'oocémie d'un sang qui se plombe
Et se rue dans ses impasses abdominales
À l'homme de mon être infernal
Pour ce contact belliqueux
Un commerce vertueux
Je lui vends mes ombres timides
En échange de ses poisons liquides
Je me saoule de ses sueurs , c'est inique
Je dispose d'un temps de vol cathartique
Où tous les points de cassure
S'effacent au fur et à mesure
Les pensées où mon cerveau s'ankylosent
Celles que jamais je ne propose.
Si je cherche les brouillons, mes esquises...
Doivent se perdre dans mes intertices
Le producteur de mon âme...
Sort de mon ventre...
Père porteur de ma vie...
Crèent de bonheur...
Mon césar...