J'ai sorti mon parapluie, mon pardessus un peu trop gris.
J'ai sorti mes souvenirs, mon coeur me chuchotait de toi, tout bas.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
J'ai frissonné en sortant, j'ai regardé fuir les passants.
J'ai pensé à toi souvent, la nuit me ramenait vers toi, tout bas.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
J'ai attendu l'autobus, serrant mes fleurs dans la cohue.
J'ai prié pour ton retour, je lui ai parlé de nous tout bas.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
J'ai traversé la grand-rue, la pluie s'est arrêtée soudain.
J'ai pleuré sur moi, tu sais, mes mains se souvenaient de toi, tout bas.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
Dans l'allée qui mène à toi, j'ai vu des amis gênés.
Debout devant ton image, j'ai couché mon coeur sur toi, tout bas.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.
C'est la Toussaint, je t'aime, c'est la Toussaint.