Putain, pourquoi elle répond pas ?
C'est Islem là , rappelle !
Tu rends ouf, là , rappelle !
Vas-y, j'regrette, rappelle !
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
La routine s'installe, pas de communication, la vie devient monotone
Une larme ou deux glissent de sa joue et tombent sur le sol
Je t'aime mais je te hais, c'est l'ironie du sort
J'ai beau jouer le bourreau des cÅurs
Ce soir on dîne aux chandelles dans le plus beau décor
J'ai refusé de nourrir ma vie de tes pleurs
T'as le plus beau des visages et le plus beau des corps
Je, je, je veux te demander ta main, nan, je n'ai pas peur d'affronter le regard de ton père
J'ai, j'ai, j'ai tout ce qui faut pour faire ton bonheur et le mien s'il me valide et qu'il coopère
Moi, j'suis peut-être pas le mec parfait, j'place peut-être quelques disquettes par phrases
Mais je t'assure que si dans ma vie, si tout était à refaire
Je le referais j'ai trimé pour mériter ma place
Moi, on m'a rien donné dans la vie, de mes mains j'ai construit le plus beau des navires
Et j'échouerais seul sur une île comme Tom si celui-ci chavire
Le regard vide, j'ai froid sans toi
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi
Une larme de sang glissent de sa joue et tombent sur le sol
Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le téléphone en veille
C'est la faute de ma carrière, je sais qu'tu regardes les messages de la veille
Quand elle rit, j'ai des barres et je sais que j'laisse un vide dans la pièce
Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse
J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carrière
Elles m'ont sucé le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire
Quand elle rit, j'ai des barres et, c'est toi
Tu fais parti d'celles qui passent au-dessus de l'oseille et des jantes en alliage
C'est bien plus qu'un flirt car devenir un homme c'est faire sa demande en mariage
Un nouveau chapitre nous était destiné t'as préféré tourner la page
Je t'aime, mais je te hais, de l'amour à la rage
Je me rapelle t'avoir fait la cour, ce jour-là je savais déjà ce que je ressentais
Oublions nos guerres, célébrons et faisons l'amour, ce soir je suis seul avec ma plume je trinque à ta santé
Et toi, toi, toi qui m'a rendu malade à vie, tout ce qu'il me reste aujourd'hui ce sont les souvenirs
T'as, t'as, t'as griffé mon cÅur avec ta nouvelle manucure, à l'époque je n'ai rien vu venir, nan
Hors de question que j'reste par terre, j'espère que t'arrives à te regarder dans la glace
J'ai l'impression de te sentir couler dans mes artères
Je voulais te montrer les mers et faire le tour de l'Atlas
Chaque fois que j'ai dû te décevoir, ma fierté ne voulait pas que je demande pardon
Et je sais que tu m'en veux de t'avoir délaissé de la sorte en allant au charbon
Le regard vide, j'ai froid sans toi
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi
Une larme de sang glissent de sa joue et tombent sur le sol
Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le téléphone en veille
C'est la faute de ma carrière, tu regardes les messages de la veille
Quand elle rit, j'ai des barres et je sais que j'laisse un vide dans la pièce
Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse
J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carrière
Elles m'ont sucé le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire
Quand elle rit, j'ai des barres et, c'est toi
Les remords, les regrets, dis-lui qu'tu l'aimes mon pote
Va la chercher sous la pluie s'il faut
Parce que quand elle sera plus là tu comprendras pourquoi j'ai écrit ce morceau
à toutes celles qu'on mérite pas
Je t'aime moi non plus