Tu cherches l'amour, la gloire et la beauté
Mais tu ne sais pas par où commencer.
Tant et tant de complexes et de complexité
Pour une vie si peu sensée,
Et depuis peu autant d'ennuis.
Ne pleurons pas sur le sort acharné
Qui brouillent les pistes et fait des pieds de nez
A des gens méritants ; un peu d'éternité
Et une vie à partager un instant
Calme et reposant.
Alors c'est la course,
Tu vas lui mordre l'oeil,
Tu ne veux pas d'obstacles sur ta route
Et encore moins quelqu'un qui te ressemble trop,
Qui prendrait ta place, ton boulot.
Ce s'rait pas réglo.
T'as rien compris car tu n'as plus d'amis.
Tu cries, tu pleures, tu dis que tu regrettes
Le temps béni, le temps perdu,
Le temps où, simple et honnête,
Tu aurais pu baisser ta garde un instant
Sans perdre la tête.
Alors si tu veux m'en croire, oublie donc un peu
De ton stress débile
Au fond d'un tiroir !
Sinon il t'mènera tout droit contre le mur,
Inutile accident d'armure.
Pour s'protéger mieux vaut bien s'entourer,
Aimer puis rire, partager son art,
Ses idées pour une bière, accoudé au comptoir,
Ou encore mieux ouvrir un peu son plumard,
Remède aux cauchemars.