Une sorte d’ivresse étrange
Qui cogne à ma fenêtre
Qui traîne dans mon jardin
Et dans le cœur des amoureux
Allumeuse de feu
Une ivresse étrange
Mais la chienne me prend au corps
Tempête encore
Dans ma prison d’origine
Marchons quand même ensemble
Malgré l’effort
Malgré la chienne
Et j’ai enfin touché la douceur
Du bout de mon rêve
J’ai effleuré le tien
Des années d’attente
Pour apposer mon étampe
Sur tes lèvres de satin
Dans la pénombre de ton refuge
Jusqu’à l’émoi
Je m’épuiserai devant toi
Oubliant l’étrange et la chienne
Découvrant tes lèvres
Blotti dans ton refuge
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