C’est sous un ciel de fin de vie
Au teint infiniment gris
Que la mort s’est dessinée
Sous forme de corps délabrées.
Des piliers de béton s’élèvent
Jusqu’au ciel pourtant lointain
Grattant celui-ci jusqu’au sang
Du quel coulent les fléaux…
La volonté de se nuire s’amplifie
Avec les cicatrices que nous laisse,
Le temps de plus en plus blafard
Muet face aux blattes et cafards.
Ils marchent sereins et joyeux
Vers leur décadence honteuse
Affamés par un monde piteux
Aux tristes illusions heureuses…
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