J'te dis pasQu'j't'avais prévenuMais chaque foisTes déconv'nuesTes peines de cœur, avoueQue tu les cherchesT'y échappesJamais, dis-moiL'amour frappeSans voir mais toiTu t'jettes à tous les coupsContre ses flèchesMaint'nant tu voudrais que je te plaigneQue j'saigne parc'que tu saignesSi t'as personne pour te consolerAllez j'veux bien m'y collerComme le rouge du mercurochromeQu'on applique sur les hématomesLe rouge de mes lèvresApaisera ta fièvreJ'te badigeon'rai comme un mômePauvre mômePleurnicheurTa garde maladeElle a l'cœurEn marmeladeEt son état est pireQue le tien mêmeSi tu veuxPas qu'elle y passeBouge un peuTa grande carcasseT'as vu comme elle soupireDis-lui que tu l'aimesDepuis l'temps qu'jattends qu'tu m'apperçoivesTant pis va c'est pas graveSi j'faisais la grèves des infirmièresJ'en souffrirai la premièreComme le rouge du mercurochromeQu'on applique sur les hématomesLe rouge de mes lèvresApaisera ta fièvreJ'te badigeon'rai comme un mômePauvre mômeComme le rouge du mercurochromeQu'on applique sur les hématomesLe rouge de mes lèvresApaisera ta fièvreJ'te badigeon'rai comme un mômeLe rouge de mes lèvresApaisera ta fièvreJ'te badigeon'rai comme un mômePauvre môme